Cette étude démontre que l'expérience indépendante de deux émotions, la colère et l'anxiété, détermine en partie si les citoyens considèrent la désinformation selon un biais partisan ou de manière plus ouverte, objective. Les résultats indiquent que la colère et l'anxiété peuvent renforcer ou en atténuer l'influence des convictions politiques sur sa perception de l'information.