Ce rapport de la CCDH, qui a rencontré un vif écho aux États-Unis, accuse douze personnalités anglophones d’être à l’origine d’une quantité importante de fausses informations sur la vaccination et de relayer des théories du complot à propos de la Covid-19. À la suite de ces accusations, le président Biden a pointé du doigt la responsabilité des plateformes numériques qui n’auraient pas réussi à endiguer correctement la désinformation sur leurs réseaux. Neuf de ces douze personnalités sont toujours actives sur les trois plateformes (Facebook, Instagram et Twitter), les trois autres ont été censurées de l’une d’entre elles.