Cet article de l’Agence Science Presse synthétise une étude menée chez des utilisateurs de réseaux sociaux issus de 17 pays, le risque d’adhérer à des théories du complot varierait en fonction des réseaux fréquentés. Ainsi le risque serait moins élevé sur Twitter que sur Facebook ou YouTube. Cette différence s’expliquerait par la façon dont les relations s’y créent entre les utilisateurs. Les relations sur Facebook se construisent autour d’amis et de connaissances, tandis que sur Twitter, les relations se construisent autour de politiciens, de célébrités et de journalistes. La configuration de Facebook serait plus propice à la propagation de fausses informations que celle de Twitter, qui serait d’après cette étude une des seules plateformes à avoir un effet “négatif” sur l’adhésion à des théories du complots. Ainsi selon l’étude Twitter diminuerait légèrement l’adhésion à des théories du complots.