Au cours de la première décennie des années 2000, le déni du changement climatique et le scepticisme face au réchauffement climatique ont pris la forme d'une campagne bien coordonnée financée par l'industrie et des groupes de réflexion. La question du changement climatique, au-delà d'être un problème de négation de faits scientifiques, constitue d'abord et avant tout une lutte politique idéologique.